- 47 observations
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22
communes -
20
observateurs -
5
organismes -
Première observation
1976 -
Dernière observation
2022
Auvers - Baromesnil - Carentan-les-Marais - Clais - Fesques - Frenelles-en-Vexin - Gouffern en Auge - Graignes-Mesnil-Angot - La Madeleine-de-Nonancourt - Le Marais-la-Chapelle - Longues-sur-Mer - Osmoy-Saint-Valery - Roncherolles-sur-le-Vivier - Rougemontiers - Saint-André-de-Bohon - Sainte-Croix-sur-Buchy - Sainte-Marie-du-Mont - Sainte-Opportune-la-Mare - Saint-Léger-du-Bourg-Denis - Saint-Saëns - Saint-Vaast-d'Équiqueville - Vexin-sur-Epte
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 27 Observations
Part d'aide à la prospection : 57.45 %
Fiche organisme
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Groupe Ornithologique Normand
Participation à 15 Observations
Part d'aide à la prospection : 31.91 %
Fiche organisme
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Région Normandie
Participation à 15 Observations
Part d'aide à la prospection : 31.91 %
Fiche organisme
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Centre d'Hébergement et d'Etudes sur la Nature et l'Environnement
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 8.51 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.13 %
Fiche organisme
Informations espèce
Il habite les plaines et les larges vallées, s’installant dans les marais, cultures, friches, landes et jeunes plantations. Il chasse sur des terrains à végétation basse ou clairsemée, mais recherche pour la reproduction des secteurs calmes à végétation haute.
Le Busard cendré se nourrit de petits animaux terrestres, d’une masse habituellement inférieure à 60 g, dont le type varie beaucoup selon la région et l’année. Il peut se spécialiser localement sur la proie la plus abondante, par exemple sur les insectes lors d’années pauvres en campagnols. Les oiseaux, leurs œufs et leurs jeunes sont fréquemment capturés. Il s’agit pour l’essentiel de passereaux nichant au sol, mais des œufs d’oiseaux plus grands (perdrix, canards) peuvent être consommés.
L’espèce chasse en solitaire mais s’assemble en petits groupes là où la nourriture est abondante. Elle est monogame (polyandrie et bigamie occasionnelle) et le couple n’est formé que pour une saison. Comme pour les autres busards, le soin et le nourrissage direct des jeunes est réservé à la femelle. Le mâle approvisionne toute la famille ; il ne nourrit normalement lui-même les jeunes qu’après leur envol. Les aires sont souvent regroupées en petites colonies lâches.
Le nid, fait au sol par la femelle, est un dôme aplati constitué avec la végétation disponible alentour, roseaux, graminées, bruyères… La ponte de 4 ou 5 œufs (extrêmes : 3 à 10) est déposée à partir de mi-mai. L’incubation dure environ 1 mois. Les jeunes parcourent les alentours de l’aire dès leur 4e semaine et s’envolent à l’âge de 35-40 jours. La famille reste unie pendant 23-25 jours après l’envol.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.