Silphe des friches
Ablattaria laevigata (Fabricius, 1775)
- 5 observations
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3
communes -
6
observateurs -
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organismes -
Première observation
2009 -
Dernière observation
2015
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 80.00 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
11-16 mm.
Diagnose :
Entièrement noir, parfois les élytres sont brun foncés. Ovale relativement aplati (peu convexe), en forme de bouclier. Les élytres sont ponctuées et lisses : elles ne présentent pas de trace de carène longitudinales. Bords latéraux en gouttières larges et relevées. Tête allongée en museau, deux fois plus longue que large.
Facilité d’identification :
Facile
Confusion possibles :
Cette espèce ne peut être confondue principalement qu’avec Silpha tyrolensis Laicharting, 1781, une espèce des prairies d’altitude et Silpha obscura Linnaeus, 1758 qui ont les élytres presque lisses, sans lignes longitudinales de carènes. Ablattaria laevigata (Fabricius, 1775) s’en distingue toutefois assez facilement avec sa tête très allongée, alors qu’elle est aussi longue, voire moins longue, que large chez les Silpha. En France métropolitaine, une seule autre espèce de Silphe : Phosphuga atrata (Linnaeus, 1758) a la tête aussi allongée, mais ses élytres présentent neuf fortes carènes longitudinales.
Périodes d’observation :
Actif du printemps à l’été, parfois en automne.
Biologie/Ethologie :
Cette espèce est prédatrice. Elle se nourrit de proies vivantes, principalement de mollusques comme en atteste la forme allongée de sa tête, adaptée à aller chercher loin dans les coquilles d’escargot. On la rencontre depuis les bords de mer jusqu’à près de 1800 mètres, où elle est écologiquement supplantée par une espèce proche : Silpha tyrolensis Laicharting, 1781.
Biogéographie :
L’espèce est relativement commune dans la moitié sud de la France métropolitaine, elle devient plus rare au nord mais est connue sur l’ensemble du territoire métropolitain.
D'après: Debreuil, M. 2004. Contribution à la connaissance de la famille des Silphidae Latreille, 1807 (Coleoptera Staphylinioidea). Troisième partie. Rutilans, 7(1): 17-24.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
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