Pique-prune
Osmoderma eremita (Scopoli, 1763)
- 29 observations
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16
communes -
15
observateurs -
2
organismes -
Première observation
1905 -
Dernière observation
2020
Anneville-Ambourville - Barville - Berville-sur-Seine - Cambremer - Coulonges-sur-Sarthe - Gacé - Gouffern en Auge - Hauterive - Jumièges - Le Ménil-Broût - Le Ménil-Vicomte - Longny les Villages - Meslay - Nay - Quevillon - Yville-sur-Seine
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 16 Observations
Part d'aide à la prospection : 55.17 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 13 Observations
Part d'aide à la prospection : 44.83 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
C’est la plus grande Cétoine de France. Le corps est de couleur brun-noir rarement roux, à reflets métalliques avec quelques rares soies pâles en dessus. La tête est fortement creusée en arrière avec deux tubercules saillants au niveau de l’insertion des antennes. Les femelles ont une tête plus plane. Le disque du pronotum est marqué de deux gros bourrelets longitudinaux (caractère moins marqué chez les femelles) délimitant un large sillon médian.
Détermination :
facile
Période d’observation :
On peut observer l’adulte aux heures les plus chaudes de fin juin à fin août.
Biologie-éthologie :
Le développement larvaire se déroule généralement dans de grandes cavités avec un fort volume de carie (supérieur à 10 litres). Les larves d’Osmoderma eremita sont saproxylophages. Elles consomment le bois mort peu attaqué par les champignons et les bactéries sur le pourtour de cavités cariées. On peut les rencontrer sur un grand nombre de feuillus des genres Quercus, Castanea, Salix, Prunus, Malus. Elles ont été aussi observées sur If (Taxus baccata) dans la forêt de la Sainte-Baume (Var) et sur de vieux platanes en Provence. Les imagos ont une activité principalement crépusculaire et nocturne mais peuvent être observés au cours des journées les plus chaudes et orageuses. Ils restent une grande partie de leur vie dans la cavité où s’est déroulé le développement larvaire. La durée du cycle de développement de cette espèce est de deux ans.
Biogéographie et écologie :
Toute l’Europe septentrionale et centrale, au sud jusqu’au Péloponèse.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.