Faux meunier
Spondylis buprestoides (Linnaeus, 1758)
- 46 observations
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18
communes -
4
observateurs -
5
organismes -
Première observation
1905 -
Dernière observation
2023
Arelaune-en-Seine - Cléon - Évreux - Giverny - Gouffern en Auge - Grand-Couronne - Hondouville - Le Bosc du Theil - Le Bouillon - Le Vaudreuil - Orival - Pont-de-l'Arche - Porte-de-Seine - Rouen - Saint-Aubin-lès-Elbeuf - Servaville-Salmonville - Tourneville - Val-de-la-Haye
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 30 Observations
Part d'aide à la prospection : 65.22 %
Fiche organisme
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Collectif de bénévoles du projet CERCION
Participation à 15 Observations
Part d'aide à la prospection : 32.61 %
Fiche organisme
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Association Entomologiste et Invertébriste de Haute-Normandie
Participation à 15 Observations
Part d'aide à la prospection : 32.61 %
Fiche organisme
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Collectif de bénévoles du projet COPRIS
Participation à 15 Observations
Part d'aide à la prospection : 32.61 %
Fiche organisme
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Société d'Etude des Sciences Naturelles d'Elbeuf
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.17 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Longicorne au corps cylindrique, trapu, entièrement noir. Sa tête robuste est aussi large que le pronotum, munie de 2 mandibules fortes acérées, falciformes. Ses antennes moniliformes sont courtes.
Détermination : Très facile.
Espèces proches :
Pas de confusion possible, ressemble cependant très superficiellement à un Dorcus mais avec des antennes non lamellées.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de fin mai à août.
Biologie-éthologie :
La larve, saproxylophage, se développe dans les racines, les grosses branches, les troncs et les souches de conifères morts (pin, sapin, épicéa). Les adultes crépusculaires, se tiennent cachés sous les troncs ou les écorces durant la journée.
Biogéographie et écologie :
Espèce de l’Europe moyenne et méditerranéenne, jusqu’au nord de la Chine et au Japon. Assez largement répartie en France, dans les forêts résineuses de plaine et de montagne, y compris dans les plantations.
D’après :
Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.