Philodrome disparate
Philodromus dispar Walckenaer, 1826
- 14 observations
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11
communes -
11
observateurs -
2
organismes -
Première observation
1899 -
Dernière observation
2021
Barneville-Carteret - Caen - Criel-sur-Mer - Foulbec - La Ferté Macé - Les Ventes-de-Bourse - Lyons-la-Forêt - Mandeville - Sainte-Opportune-la-Mare - Saint-Saëns - Versainville
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 13 Observations
Part d'aide à la prospection : 92.86 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 7.14 %
Fiche organisme
Informations espèce
Europe, excepté au Nord-Est
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 4-6 mm, mâle : 4 5 mm.
Le nom commun du genre traduit le comportement locomoteur : Philodromus signifie « qui aime courir » ; il indique pour le nom d’espèce la grande disparité de taille et de couleur entre la femelle assez claire et le mâle très sombre. La femelle n’est pas aisée à distinguer des autres espèces du genre, malgré que son corps soit coloré de blanc sur sa périphérie. Le mâle est par contre assez reconnaissable, en raison de sa coloration dorsale noire, de ses pattes claires et de son corps bordé, comme la femelle, de blanc. Le genre Philodromus comprend une trentaine d’espèces en France, qui sont séparées en plusieurs groupes. Mais, au sein de ces groupes, même en observant les pièces génitales, les espèces sont parfois difficiles à distinguer.
Milieux colonisés :
L’espèce colonise les bois et forêts de tous types. On la trouve aussi dans des milieux plus morcelés comme les haies et les jardins On l’observe parfois sur les murs de maisons.
Chasse
La chasse est une chasse d’affûts entrecoupés de déplacements. Elle a lieu sur les arbres, les troncs, voire les fleurs comme sur les murs des maisons. Les proies sont principalement des diptères qui après s’être posés sont approchés par l’araignée puis happés. Il n’y a pas de loge de repos.
Développement, cycle
Les adultes des deux sexes sont trouvés surtout en mai et juin. Le cycle semble annuel. La femelle cache son cocon sous une écorce ou dans une anfractuosité. Il comprend de vingt à trente œufs, gardés par la femelle jusqu’au départ des jeunes. L’hiver est passé dans la litière, sous des écorces, dans les maisons.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.