Leiopus femoratus Fairmaire, 1859
- 24 observations
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12
communes -
9
observateurs -
4
organismes -
Première observation
2008 -
Dernière observation
2023
Arelaune-en-Seine - Bouquelon - Forges-les-Eaux - Les Baux-Sainte-Croix - Les Ventes - Le Tronquay - Rives-en-Seine - Rouen - Saint-Aubin-lès-Elbeuf - Sainte-Opportune-la-Mare - Saint-Martin-de-Boscherville - Tourouvre au Perche
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 17 Observations
Part d'aide à la prospection : 70.83 %
Fiche organisme
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Département de Seine-Maritime
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 12.50 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 12.50 %
Fiche organisme
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Société d'Etude des Sciences Naturelles d'Elbeuf
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 4.17 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petit longicorne de coloration brun noirâtre, recouvert d’une pilosité dense, couchée bicolore gris clair et brun foncé. Pronotum à épines latérales réduites situées en arrière de son milieu. Élytres étroits, parallèles à coloration grise irrégulière, parsemés de taches et de points bruns ou noirâtres.
Détermination :
délicate.
Espèces proches :
Longtemps confondu avec Leiopus nebulosus (Linnaeus, 1758), confusion possible avec les 3 autres espèces du genre. Il s’en distingue par ses épines latérales du pronotum petites et courtes et par le troisième article antennaire plus allongé
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de mai à août.
Biologie-éthologie :
La larve très polyphage attaquent les branches et branchettes mortes de diverses essences feuillues : noyer, peuplier, gui, lierre, noisetier, charme, aulne, saule, bouleau, érable, hêtre, tilleul, orme, châtaignier, chêne, arbres fruitiers. Également cité du sapin.
Biogéographie et écologie :
Espèce européenne qui atteint l’Asie. En France, surtout présent dans la moitié nord du pays, dans les forêts feuillues, parcs, jardins ou vergers. En France, l’indigénat de l’espèce pose question.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.