Eristalinus aeneus (Scopoli, 1763)
- 6 observations
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4
communes -
5
observateurs -
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organismes -
Première observation
2009 -
Dernière observation
2019
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Moyenne, 10 à 12mm.
Diagnose :
Le genre Eristalinus se reconnaît très facilement grâce à ses yeux tâchés. Sur les antennes, l’arista ne comporte pas de longs poils et la nervation de l’aile est un caractère important avec la nervure radiale 4+5 très sinueuse et la première cellule radiale fermée. Cette espèce diffère des autres par son corps entièrement noir. Les mâles ont les yeux coalescents ce qui permet de les distinguer d’Eristalinus sepluchralis. Pour les femelles il faut se référer à la pilosité des yeux (assez courte et limitée dans le tiers supérieur de l’œil), la couleur des poils du scutellum (tous clairs chez cette espèce) et la taille (souvent plus grosse).
Facilité d'identification :
Très facile chez les mâles et pouvant se faire sur photo, elle s’avère plus complexe chez les femelles et nécessite un examen à la loupe binoculaire.
Confusions possibles :
Possibilité de confusion avec Eristalinus sepulchralis.
Période de vol :
Les adultes sont principalement visibles entre avril et septembre voire un peu plus tard en région méditerranéenne. Les adultes passent l’hiver et se reproduisent au printemps.
Répartition générale :
C’est une espèce cosmopolite, elle est présente dans toute l’Europe ainsi que sur la plupart de l’Afrique. En Asie on la retrouve dans toute sa partie sud et le long de la cote pacifique. Elle est également présente en Australie et en Nouvelle-Zélande ainsi qu’en Amérique du Nord.
Habitat et biologie :
On la rencontre principalement dans les zones humides. Elle est notamment présente dans les marais, les lacs côtiers, les mares, les rivières à faible courant, les canaux d’irrigation… Les adultes sont souvent visibles sur des zones bien dégagées au soleil (galets, rochers, feuillage). Les mâles sont très territoriaux et volent bruyamment pour défendre leur territoire. Les larves sont aquatiques et filtrent les matières organiques dans l’eau. Elles peuvent aussi se nourrir de matières fécales dans les fosses à lisiers.
Speight, M.C.D. (2020) Species accounts of European Syrphidae, 2020. Syrph the Net, the database of European Syrphidae (Diptera), vol. 104, 314 pp., Syrph the Net publications, Dublin.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.