Neottiglossa leporina (Herrich-Schäffer, 1830)
- 2 observations
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2
communes -
3
observateurs -
2
organismes -
Première observation
2009 -
Dernière observation
2021
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petite punaise entièrement jaunâtre à la tête aussi longue que large recourbée en avant. Antennes dont l’article II dépasse l’apex du clypéus (nez). Une fine ligne longitudinale centrale plus claire traverse le pronotum et s’étend sur le scutellum, mais n’est pas ceinturée de noir. Scutellum élargi qui dépasse la longueur des cories (partie sclérifiée des ailes antérieures). Les angles antérieurs du scutellum sont soulignés de lignes blanches allongées moins longues que le tiers de la longueur du scutellum.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Elle se distingue des autres Neottiglossa par son scutellum élargi dépassant l’apex des cories. Avec Neottiglossa bifida, elle fait partie des espèces de Neottiglossa « claires », avec les parties latéro-ventrales de l’abdomen et la ponctuation de l’exocorie jaunâtres, et le ventre dépourvu de tache noir-bronzé et le connexivum largement clair.
Période d’observation :
Mai à septembre, mais principalement en août.
Biologie-éthologie :
Vit uniquement sur différentes graminées dont les pâturins, fétuques, agrostides.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne absente en Grande-Bretagne, qui remonte jusqu'à 53° de latitude nord en Pologne et en Russie. Elle s’étend jusqu’en Chine et en Corée vers l’est. Elle est absente dans les parties les plus chaudes de l’aire méditerranéenne. Son aire de répartition recouvre une partie de celle de N. bifida. La fréquence relative de ces 2 espèces en zone méditerranéenne est un bon marqueur climatique. Dans les milieux herbeux riches en graminées, secs ou humides, mais exceptionnellement dans les prairies cultivées. C’est une espèce très commune avec des densités localement élevées, parmi les épis et graines de graminées.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.