Hypénode du Serpolet (L')
Schrankia costaestrigalis (Stephens, 1834)
- 8 observations
-
6
communes -
7
observateurs -
4
organismes -
Première observation
2003 -
Dernière observation
2022
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
-
Conservatoire d'Espaces Naturel de Normandie
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 37.50 %
Fiche organisme
-
Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 37.50 %
Fiche organisme
-
Caux Seine Agglomération
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 37.50 %
Fiche organisme
-
Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 25.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Envergure : 16 - 22 mm.
Diagnose :
Le dessus des ailes antérieures est brun avec une fine ligne noire post-discale dentée surlignée d'une ligne brun clair plus ou moins étendue, parfois confluente avec une strie oblique brun clair s'étirant de l'apex ; ligne post-basale le plus souvent à peine visible ; strie diffuse noirâtre et longitudinale s'étirant de la tache discale à la ligne post-discale. Recto des ailes postérieures brun clair avec une légère inflexion concave en leurs bords et une petite tache discale.
Détermination :
L'adulte est assez difficile à déterminer.
Espèces proches :
En France métropolitaine, ce petit papillon est confondu avec des espèces de pyrales, mais surtout avec Schrankia taenialis (Hypénode de la Callune) et dans une moindre mesure avec Hypenodes humidalis (Hypénode des Tourbières). Selon la fraîcheur des individus, il est parfois nécessaire de recourir à l'observation des pièces génitales pour confirmer la détermination.
Période d’observation :
Les adultes volent de mai à septembre.
Biologie-éthologie :
Schrankia costaestrigalis a 1 à 2 générations par an selon la latitude. L'adulte est actif de nuit. Polyphage, la chenille nocturne se nourrit de différentes fleurs de plantes herbacées Calluna spp., Thymus spp., mais aussi de feuilles flétries de Salix spp.
Biogéographique et écologie :
Trans-paléarctique, l'Hypénode du Serpolet est présente dans la plupart des pays européens, en Afrique du Nord et de Macaronésie puis en Asie tempérée. Signalée de Nouvelle-Zélande et d'Australie. Elle affectionne les clairières, les ripisylves, les lisières forestières et les boisements humides. L'espèce est présente aux étages planitiaire et collinéen.
D'après :
Fibiger M., Ronkay L., Yela J-L. & Zilli A., 2010. Rivulinae - Phytometrinae, and Micronoctuidae, including suplement to Noctuidae Europaeae vol 1-11. Noctuidae Europaeae. Entomological Press Soro, Danemark, volume 12, 451 pp.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.