Murin d'Alcathoe

Myotis alcathoe Helversen & Heller, 2001


Classe : Mammalia Ordre : Chiroptera Famille : Vespertilionidae Genre : Myotis
LRE : DD LRN : LC LRR : NT
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  • 2
    observations

  • 2
    communes

  • 3
    observateurs

  • 2
    organismes

  • Première observation
    2009

  • Dernière observation
    2022
Anonyme (biotope) - Gourvennec Anthony - Gourvennec--firmin Arthur (fauna Flora)

Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.

  • Département de Seine-Maritime
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 50.00 %

    Fiche organisme

  • Métropole Rouen Normandie
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 50.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Longueur (T+C) : 3,9-4,4 cm. Longueur avant-bras : 3,08 cm – 3,46 cm. Envergure : environ 20,0 cm. Poids : 3,5 à 6 g. Dents (38) : I2/3, C1/1, P3/3, M3/3. Echolocation (fréquence terminale) : supérieure à 40 kHz.

Le Murin d’alcathoe, récemment décrite en France (2001) est le plus petit Myotis d’Europe. Il ressemble beaucoup au Murin à moustaches et au Murin de Brandt, une clé de détermination est nécessaire pour une identification rigoureuse. Le pelage tend du brun au roux, le tragus est pointu et ne dépasse qu’à peine l’échancrure de l’oreille. La face est claire et le pelage frontal du crâne, en brosse, descend nettement vers le museau.

Il est observé le plus souvent dans les milieux forestiers associés à une forte concentration de zones humides, notamment dans les vallées encaissées, près des rivières ou dans les vallées de montagne. Il se met en activité très tôt, juste après le coucher du soleil, dans la végétation dense et diversifiée et le long de structures fortement végétalisées ou au-dessus de l’eau, et semble capturer ses proies au vol. Pour l’hibernation, il semble préférer nettement les gîtes arboricoles, notamment les fissures et ne fréquente pas les cavités. Les mises bas peuvent avoir lieu jusqu’à la mi-juin, préférentiellement dans des gîtes arboricoles.

Extrait de l'ouvrage : ARTHUR L. & LEMAIRE M. 2009. Les Chauves-souris de France, Belgique, Luxembourg et Suisse. Biotope, Mèze (Collection Parthénope); MNHN, Paris, 544p.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment
Répartition actuelle en France métropolitaine

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Pas de synonymes pour ce taxon

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.

Sources des données du taxon

Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.