Ségestrie florentine

Segestria florentina (Rossi, 1790)

Classe : Arachnida Ordre : Araneae Famille : Segestriidae Genre : Segestria
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  • 16
    observations

  • 12
    communes

  • 13
    observateurs

  • 2
    organismes

  • Première observation
    1863

  • Dernière observation
    2023
Anonyme (commune Du Havre) - Anonyme 35408 () - Auffret Jean-françois (indépendant) - Christian Berquer (inconnu) - Daniel Radix (inconnu) - Drouard Françoise () - Franks Sacha - Laurine Violaine Occolier (inconnu) - Lebenêt (inconnu) - Lucas H. () - Lucas Hippolyte () - Remton () - Sarahrag ()

Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.

  • Inventaire National du Patrimoine Naturel
    Participation à 14 Observations
    Part d'aide à la prospection : 87.50 %

    Fiche organisme

  • Ville du Havre
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 6.25 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Distribution mondiale :
Europe méridionale et centrale, Bassin méditerranéen

Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 15-22 mm, mâle : 10-15 mm.

La disposition des pattes avec trois paires orientées vers l’avant est caractéristique de la famille. Les adultes ont une couleur très spécifique : noire avec des chélicères à reflets couleur bronze ou verts. Il y a cinq espèces en France, S. florentina se reconnaît assez bien à sa grande taille et à sa couleur. Par contre les jeunes ont parfois la même coloration et spinulation des pattes antérieures que S. bavarica.

Milieux colonisés :
L’espèce colonise les forêts, surtout les arbres morts, les rochers fissurés, les murets, ainsi que les maisons à l’extérieur mais aussi parfois à l’intérieur.

Chasse :
L’espèce tisse une toile constituée de fils rayonnants avertisseurs à partir d’une retraite tubulaire. Elle se tient le soir à l’entrée de son tube, les pattes proches des fils rayonnants. Dès qu’une proie les touche, elle jaillit, saisit et mord sa victime qu’elle entraîne assez rapidement dans son repaire. Les proies peuvent être assez grandes et solides, ce sont des coléoptères, des lépidoptères, des hyménoptères, des cloportes, d’autres araignées…

Développement, cycle :
Les femelles adultes sont présentes toute l’année, les mâles se rencontrent au printemps et en automne. L’espèce semble peu soumise aux facteurs périodiques du milieu, le cycle est difficile à caractériser.

La ponte a lieu à l’automne, le cocon est déposé sur un côté de la retraite. La femelle reste avec les jeunes jusqu’à leur dispersion.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment
Répartition actuelle en France métropolitaine

Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Aranea florentina Rossi, 1790 |

Observations mensuelles

Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.

Sources des données du taxon

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