Drassode lapidicole
Drassodes lapidosus (Walckenaer, 1802)
- 13 observations
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8
communes -
6
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1876 -
Dernière observation
2016
Anneville-Ambourville - Donville-les-Bains - Eaux territoriales - Façade Seine-Maritime - Granville - Les Andelys - Lyons-la-Forêt - Saint-Pair-sur-Mer - Versainville
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 8 Observations
Part d'aide à la prospection : 61.54 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 30.77 %
Fiche organisme
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Indépendant Claire JACQUET
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
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Maison de l'Estuaire
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
Informations espèce
Europe, bassin méditarranéen
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 10-15 mm, mâle : 7-13 mm.
De couleur brune avec l’abdomen gris soyeux uniforme, l’espèce possède des chélicères et l’extrémité des pattes noires. Il y a 15 espèces dans le genre et deux sous-espèces dont les mâles se distinguent par la position des dents des chélicères. Cette espèce est très proche d’une autre, D. cupreus qui est plus atlantique. Les femelles des deux espèces sont assez difficiles à distinguer, y compris en observant les pièces génitales.
Milieux colonisés :
L’espèce colonise des milieux assez variés mais elle est plus commune dans ceux ouverts bien exposés au soleil.
Chasse :
Les Drassodes filent une loge de soie lâche pour leurs périodes d’inactivité diurnes, souvent sous les pierres, beaucoup plus rarement sous des écorces ou dans la mousse. Ils chassent la nuit. En végétation épaisse, on peut voir cette espèce la nuit au sommet des végétaux à la recherche de ses proies, les pattes antérieures tendues à l’avant. Les proies peuvent être assez grandes et solides comme de grands coléoptères. Elle attaque aussi d’autres araignées, y compris de sa taille.
Développement, cycle :
Les mâles sont présents au printemps et en été, les femelles survivent parfois jusqu’à l'automne. Le cycle est annuel Devenu adulte, le mâle recherche la loge d’une femelle subadulte. Il reste avec elle jusqu’à sa dernière mue et la féconde dès qu’elle a quitté sa dernière exuvie, avec son tégument pas encore sec, encore fragile. La période de ponte s’étend de juin à septembre, il peut y avoir de 40 à plus de 110 œufs. Les œufs sont enfermés dans un cocon constitué d’une soie épaisse très blanche. La femelle garde son cocon dans sa loge jusqu’à ce que les jeunes en sortent.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.