Lepture de pique (femelle)
Stenurella bifasciata (Müller, 1776)
- 9 observations
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9
communes -
4
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1905 -
Dernière observation
2016
Bueil - Ézy-sur-Eure - Houppeville - Les Baux-Sainte-Croix - Martot - Montfiquet - Petit-Couronne - Saint-Jacques-sur-Darnétal - Saint-Sébastien-de-Morsent
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Collectif de bénévoles du projet CERCION
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 77.78 %
Fiche organisme
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Association Entomologiste et Invertébriste de Haute-Normandie
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 77.78 %
Fiche organisme
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Collectif de bénévoles du projet COPRIS
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 77.78 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 22.22 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petit lepture à stature étroite. Corps noir sauf l'abdomen rougeâtre et les élytres rouge sombre. Chez le mâle les élytres sont unis sauf l’extrémité qui est sombre, chez la femelle, ils présentent une tache noire caractéristique vers le milieu, en forme de triangulaire ou arrondie.
Détermination : moyennement difficile; simple pour la femelle; possible sur photo pour la mâle avec une vue de l'abdomen.
Espèces proches :
Le mâle ressemble beaucoup à celui de Stenurella melanura et s'en distingue surtout par son abdomen rougêatre (noir chez S. melanura). La femelle est parfois confondue avec Stictoleptura cordigera en raison du motif en forme de cœur sur les élytres, mais S. cordigera est un lepture beaucoup plus grand (toujours > 10 mm).
Période d’observation :
Adultes observés de mai à août, avec un pic en juin et début juillet.
Biologie-éthologie :
Larve saproxylophage, consommant le bois décomposé de plusieurs types d'arbres, surtout des feuillus. Cycle de développement peu connu. Adulte diurne et floricole, pouvant s'observer sur de nombreux types de fleurs.
Biogéographie et écologie :
Espèce répandue de l'Espagne à la Sibérie, plutôt méridionale (absente du Royaume-Uni et de Scandinavie). En France, elle est commune sauf dans les régions les plus au nord. Elle fréquente les forêts feuillues et mixtes, les lisières, bosquets, bocages et maquis.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.