Épeire à bosses
Gibbaranea bituberculata (Walckenaer, 1802)
- 15 observations
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8
communes -
11
observateurs -
2
organismes -
Première observation
1899 -
Dernière observation
2009
Anneville-Ambourville - Connelles - Heurteauville - Les Ventes-de-Bourse - Lyons-la-Forêt - Marchemaisons - Saint-Samson-de-la-Roque - Versainville
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 60.00 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 40.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Europe, Bassin méditerranéen
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 6-9 mm, mâle : 5-6 mm.
L’abdomen possède des pointes antérieures latérales et un dessin dorsal variable avec des couleurs plutôt brun à jaune, ce qui la distingue de l’Epeire gibbeuse (G. gibbosa) qui est plutôt verdâtre, et qui colonise, elle, plutôt les arbres et arbustes. Le genre comprend 4 espèces, les deux autres non encore citées (G. omoeda et G. ullrichi) sont difficiles à distinguer de G. bituberculata sans l’observation des pièces génitales. On pourrait la confondre avec l’Epeire angulaire (Araneus angulatus) qui est beaucoup plus grande, à pointes moins marquées, à dessin abdominal plutôt brun, et qui tisse sa toile en hauteur dans les arbres.
Milieux colonisés :
milieux herbacés ensoleillés
L’Epeire dromadaire colonise des terrains secs avec une végétation éparse : friches, landes, steppes, garrigues, lisières de bois.
Chasse :
La toile, construite le matin, est située assez bas dans la végétation. Elle est tissée entre deux tiges végétales, son centre est rarement à plus de 50 cm au-dessus du sol. Le jour, l'araignée reste sur la toile. Dans les régions chaudes, elle se cache dans une retraite, souvent construite sous une inflorescence haute (par exemple, Ombellifère).
Développement, cycle :
Le cycle est annuel. Les adultes sont présents d'avril à juin. Les femelles peuvent pondre plusieurs fois, en juin. Le cocon est abandonné sur des tiges hautes de la végétation. Il est recouvert d’une soie épaisse. Les jeunes sortent des cocons après une vingtaine de jours, ils sont subadultes à l’entrée de l’hiver.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.