Dolomède des marais
Dolomedes fimbriatus (Clerck, 1758)
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observateur -
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organisme -
Première observation
2021 -
Dernière observation
2021
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 100.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Europe nordique et moyenne
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 14-22 mm, mâle : 10-17 mm.
Les yeux sont caractéristiques de la famille avec une ligne postérieure formée d’yeux plus grands que ceux de la ligne antérieure, la ligne postérieure constituant un trapèze à bases inégales. Il existe deux espèces en France : D. fimbriatus et D. plantarius, les lignes latérales claires sur les bords du corps sont souvent présentes chez fimbriatus mais ce caractère est insuffisant pour distinguer les deux espèces, l’observation des pièces génitales reste indispensable.
Milieux colonisés :
L’espèce colonise des milieux humides variés avec de l’eau libre au moins au printemps (reproduction) et parfois un couvert forestier, mais les jeunes peuvent s’éloigner de ces milieux d’origine. L’autres espèce du genre, D. plantarius est plus inféodée à une eau libre sans ombrage forestier.
Chasse :
La Dolomède chasse des proies terrestres telles des odonates, des diptères ou d’autres insectes et aussi des proies aquatiques, telles des petits poissons ou de jeunes tritons. Ses proies sont parfois bien plus grandes qu’elle. Elle détecte ses proies aquatiques en restant à la surface de l’eau et n’hésite pas à pénétrer dans l’eau pour les capturer. Elle peut aussi s’y réfugier en cas de danger.
Développement, cycle :
Les adultes apparaissent au printemps, les femelles survivent jusqu’à l’automne. Le cycle nécessite plusieurs années, au moins deux. La femelle porte son cocon dans les chélicères. Il existe une toile pouponnière, tissée par la femelle, où les jeunes restent quelques jours avant de se disperser. Les jeunes se dispersent dans les milieux proches et chassent parfois assez haut dans la végétation.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.