Eristalinus sepulchralis (Linnaeus, 1758)
- 22 observations
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12
communes -
8
observateurs -
2
organismes -
Première observation
2009 -
Dernière observation
2021
Anneville-Ambourville - Arelaune-en-Seine - Bouquelon - La Hague - Le Trait - Montfiquet - Pennedepie - Rives-en-Seine - Sainte-Opportune-la-Mare - Saint-Nicolas-de-la-Taille - Saint-Sulpice-de-Grimbouville - Sandouville
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 19 Observations
Part d'aide à la prospection : 86.36 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 13.64 %
Fiche organisme
Informations espèce
Petite, 7 à 10mm.
Diagnose :
Le genre Eristalinus se reconnaît très facilement grâce à ses yeux tâchés. Sur les antennes, l’arista ne comporte pas de longs poils et la nervation de l’aile est également un caractère important avec la nervure radiale 4+5 très sinueuse et la première cellule radiale fermée. Elle se distingue des autres espèces du genre par son corps entièrement noir. Les mâles ont les yeux séparés (non coalescent) ce qui permet de les distinguer facilement d’Eristalinus aeneus. Pour les femelles, c’est beaucoup moins évident, et il faut se référer à un ensemble de critères comme la longueur de la pilosité des yeux (longue et dense) ou la couleur des poils du scutellum (souvent avec une partie des poils noirs) et la taille (souvent plus petite).
Facilité d'identification :
Très facile chez les mâles et pouvant se faire sur photo, elle s’avère plus complexe chez les femelles et nécessite souvent un examen à la loupe binoculaire.
Confusions possibles :
Possibilité de confusion avec Eristalinus aeneus.
Période de vol :
Les adultes sont principalement visibles entre les mois de mai et à septembre.
Répartition générale :
Présente dans pratiquement toute l’Europe elle s’étend de la Scandinavie jusqu’au pourtour méditerranéen (y compris l’Afrique du Nord). On la trouve également sur les îles britanniques et vers l’est en Turquie et en Russie jusqu’à la côte pacifique (Sibérie, Chine, Japon).
Habitat et biologie :
On la rencontre principalement dans les zones humides. Elle est notamment présente dans les marais, les lacs côtiers et les mares mais également dans les zones polluées par les matières organiques comme les fossés des prairies pâturées ou les fosses à lisiers. Les adultes sont souvent visibles sur des zones boueuses bien dégagées (bord de flaque, berges des mares). Les larves sont aquatiques et se rencontrent dans la végétation en décomposition notamment. Elles filtrent les matières organiques dans l’eau.
Speight, M.C.D. (2020) Species accounts of European Syrphidae, 2020. Syrph the Net, the database of European Syrphidae (Diptera), vol. 104, 314 pp., Syrph the Net publications, Dublin.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.