Agélène à labyrinthe
Agelena labyrinthica (Clerck, 1758)
- 10 observations
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7
communes -
5
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1899 -
Dernière observation
2020
Bouquelon - La Feuillie - Luc-sur-Mer - Lyons-la-Forêt - Sainte-Opportune-la-Mare - Saint-Sulpice-de-Grimbouville - Saint-Vigor-d'Ymonville
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 40.00 %
Fiche organisme
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Indépendant Claire JACQUET
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 10.00 %
Fiche organisme
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Maison de l'Estuaire
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 10.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
toute l’Europe, Asie
Caractères distinctifs, espèces
Taille - femelle : 9-15 mm, mâle : 8-11 mm.
Les filières sont longues, caractéristiques de la famille. Le corps est densément recouvert de soies. L’espèce est gris-brun clair, avec deux bandes latérales foncées sur toute la longueur du corps. L’abdomen ovale est marqué d’une série de chevrons sur les bandes sombres. Les jeunes ont un céphalothorax rougeâtre avec un abdomen noir. Il existe trois espèces en France dans les genres Agelena et Allegelena, l’observation des pièces génitales est indispensable pour bien les distinguer.
Milieux colonisés :
L’espèce colonise des milieux très variés de végétation dense et basse, depuis les bords de routes jusqu’aux lisières de forêts, en milieux secs ou humides.
Chasse :
Au dessus de la végétation, elle construit une toile horizontale, non collante, très grande, d’un demi-mètre ou plus, surmontée d’un entrelacs de fils d’interception. La nappe se prolonge en son milieu par une retraite tubulaire qui descend dans la végétation et sert de sortie de secours dans laquelle l’araignée se retire pour manger ses proies ou muer. L’araignée capture des proies de très grande taille telles des orthoptères.
Développement, cycle :
Les mâles sont présents de juin à août, les femelles de juin à octobre. Le cycle est annuel.
Le mâle vit parfois avec une femelle immature, la toile a alors une double retraite. L’accouplement a lieu dans la retraite Après l’accouplement la femelle tisse en fin d’été une grande chambre dans la végétation proche de la toile et y dépose son cocon. La construction devient suffisamment complexe pour que l’on ait parlé de « labyrinthe ». La ponte comprend de 60 à 150 œufs. Les jeunes sortent du cocon rapidement et restent avec la femelle pendant l’hiver, ils s’en nourrissent après sa mort, puis se dispersent au printemps.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.