Melanocoryphus albomaculatus (Goeze, 1778)
- 18 observations
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15
communes -
16
observateurs -
3
organismes -
Première observation
2008 -
Dernière observation
2023
Barneville-Carteret - Bois-Jérôme-Saint-Ouen - Boitron - Caen - Gisors - La Poterie-Cap-d'Antifer - Le Dézert - Le Vaudreuil - Lisieux - Mesnils-sur-Iton - Montivilliers - Rouen - Saint-Hellier - Valambray - Val de Drôme
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 16 Observations
Part d'aide à la prospection : 88.89 %
Fiche organisme
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Département de Seine-Maritime
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.56 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional Normandie-Maine
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.56 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Punaise rouge et noire allongée. Tête noire. Partie antérieure du pronotum avec une tache noire convexe et partie postérieure rouge avec 2 bandes noires longitudinales larges et arquées. Scutellum noir et cories rouges chacune avec un seul petit point central noir et rond. Membranes noires avec une tache blanche centrale circulaire et une autre le long des cories.
Détermination :
Simple.
Espèces proches :
Les Horvathiolus ont des points noirs centraux sur leur cories rouges, mais sont plus petits et n’ont pas de tache noire sur la partie antérieure du pronotum. Elle se distingue de Scantius aegyptius rossii qui a le pronotum noir entouré de rouge, et pas d’ocelles.
Période d’observation :
Toute l’année avec 3 pics en avril, juin et octobre.
Biologie-éthologie :
Espèce polyphage capable de se nourrir en piquant les graines de beaucoup de plantes. Elle semble avoir une préférence pour les séneçons (Asteraceae). Les adultes hivernent sous les pierres, dans la litière, au pied des plantes, et pondent sur une longue période probablement jusqu’en juin, puis la nouvelle génération d’adultes commence à apparaitre en septembre.
Biogéographie et écologie :
Espèce ouest-paléarctique assez commune très présente sur la façade atlantique. On la trouve en Afrique du Nord, Espagne, France, Belgique, Suisse, Italie, Allemagne, Tchéquie. Absente en Grande-Bretagne et devient moins fréquente à l’est, mais elle a été rencontrée jusqu’en Irak et Tadjikistan. Elle ne semble pas dépasser 51° de latitude nord. On peut la rencontrer aussi bien en bord de mer qu’en plaine ou en montagne au moins jusqu’à 2 000 m d’altitude. Elle apprécie les endroits herbeux chauds et ensoleillés, versants sud des collines bien exposés, dunes, prairies sèches.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.