Tégénaire des maisons
Eratigena atrica (C.L. Koch, 1843)
- 7 observations
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6
communes -
6
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1976 -
Dernière observation
2016
Arelaune-en-Seine - Barneville-Carteret - Berville-sur-Seine - Donville-les-Bains - Notre-Dame-de-Bliquetuit - Saint-Vigor-d'Ymonville
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 42.86 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 42.86 %
Fiche organisme
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Indépendant Claire JACQUET
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 14.29 %
Fiche organisme
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Maison de l'Estuaire
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 14.29 %
Fiche organisme
Informations espèce
toute l’Europe, Bassin méditerranéen
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 10-14 mm, mâle : 11-16 mm.
C’est une grande espèce aux pattes, sombres, velues et longues, chez le mâle encore plus que chez la femelle. Sa couleur générale est brunâtre avec deuxbandes claires sur les côtés du céphalothorax et un abdomen brun à taches claires en séries. La systématique de ce groupe, à l’origine deTegenaria, a été revu récemment et en a été complètement remaniée (regroupement des espèces : atrica, saeva, duellica, nervosa, etgigantea) . Il faudra donc un peu de temps avant de discerner les biologies respectives. On distingue maintenant en France, deux Aterigena, 5 Eratigena et 17 Tegenaria. Eratigena atrica est avec Tegenaria ferruginea une grande espèce que l’on rencontre souvent dans les habitations et qu’il ne faut pas confondre avec une espèce beaucoup plus petite, Tegenaria domestica.
Milieux colonisés :
Si l’espèce colonise des milieux naturels : rochers ou troncs au sol, elle est surtout connue de milieux construits par l’homme.
Chasse :
L’espèce tisse une toile nappe non collante qui prolonge une retraite tubulaire cachée dans la végétation, dans un trou de mur, derrière un meuble. Les individus se déplacent sur la toile, c’est là qu’ils viennent capturer les proies qui se sont hasardées sur la nappe. Elles sont saisies et consommées dans la retraite.
Développement, cycle :
Les femelles adultes sont trouvées toute l’année, plus abondantes de septembre à décembre, les mâles sont présents de août à octobre. Le cycle dure deux ans.
L’araignée effectue ses mues dans sa retraite. Le mâle recherche souvent une femelle immature, vit avec elle jusqu’à sa mue de maturité, puis la féconde ensuite, plusieurs fois. La ponte, de 40 à 60 œufs, n’est déposée dans la retraite qu’au printemps suivant.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.