Saltique fourmi
Myrmarachne formicaria (De Geer, 1778)
- 19 observations
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9
communes -
12
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1900 -
Dernière observation
2022
Anneville-Ambourville - Arelaune-en-Seine - Criel-sur-Mer - Deauville - La Cerlangue - Lyons-la-Forêt - Sainte-Opportune-la-Mare - Vatteville-la-Rue - Versainville
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 12 Observations
Part d'aide à la prospection : 63.16 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 31.58 %
Fiche organisme
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Indépendant Claire JACQUET
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.26 %
Fiche organisme
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Maison de l'Estuaire
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.26 %
Fiche organisme
Informations espèce
Europe Moyen-Orient
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 5-6 mm, mâle : 5-6 mm.
Cette araignée sauteuse aux yeux caractéristiques ressemble à une fourmi par sa forme générale : la région céphalique est élevée et très sombre, la partie thoracique brune, plus claire, fait croire à une partition en deux masses, tête et thorax. Les pattes antérieures sont souvent tenues dressées, ce qui évoque encore plus une fourmi, d’où son nom. L’abdomen est plus sombre dans la partie postérieure, les pattes sont claires avec des bandes brunes et noires. Les mâles possèdent des chélicères très développés. Deux autres genres de saltiques myrmécomorphes sont présents en France ; chez aucun d’eux, la partie céphalique n’est élevée. Synageles comprend 5 espèces plus petites, dont la partie céphalique est séparée visuellement de la partiethoracique par une bande transversale d’écailles blanches. Le genre Leptorchestes comprend 3 espèces à peu près de même taille que Myrmarachne. Leur abdomen est étranglé au milieu et marqué d’une bande transverse claire.
Milieux colonisés :
L’espèce est présente en pelouses souvent humides, ensoleillées, en landes, parfois dans les habitations.
Chasse :
Cette espèce chasse activement le jour. Comme chez les autres Salticidés, les araignées de cette espèce se réfugient dans une loge de soie en période d’inactivité.
L’aspect de fourmi (myrmécomorphie), renforcé par un comportement qui augmente la ressemblance avec les fourmis, n’est pas lié à la recherche de proies. Un certain nombre de prédateurs, notamment les oiseaux, répugnent souvent à capturer des fourmis, animaux toxiques ou venimeux. Leur ressembler confère donc une certaine protection vis-à-vis de ces prédateurs.
Développement, cycle :
Les adultes des deux sexes apparaissent en mai, les mâles sont présents jusqu’en juillet, les femelles jusqu'en septembre. Le cycle est annuel.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.