Obera bouffe
Oberea oculata (Linnaeus, 1758)
- 20 observations
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15
communes -
9
observateurs -
5
organismes -
Première observation
1905 -
Dernière observation
2020
Arelaune-en-Seine - Barneville-sur-Seine - Bueil - Caudebec-lès-Elbeuf - Conches-en-Ouche - Elbeuf - Freneuse - Gandelain - Glisolles - Grand-Couronne - Le Landin - Lyons-la-Forêt - Mesnil-en-Ouche - Surville - Vernon
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Collectif de bénévoles du projet CERCION
Participation à 13 Observations
Part d'aide à la prospection : 65.00 %
Fiche organisme
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Association Entomologiste et Invertébriste de Haute-Normandie
Participation à 13 Observations
Part d'aide à la prospection : 65.00 %
Fiche organisme
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Collectif de bénévoles du projet COPRIS
Participation à 13 Observations
Part d'aide à la prospection : 65.00 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.00 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 15.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Capricorne allongé, à tête et antennes noires, pronotum transverse orangé orné de deux petites taches disco-latérales noires. Le scutellum est orangé ; les élytres tronqués à l’apex, à ponctuation forte formée de points noir brillant ronds profonds, alignés longitudinalement sont couverts d’une pilosité fine grise.
Détermination :
assez simple.
Espèces proches :
Elle se distingue des autres Oberea par son pronotum à deux taches discales antémédianes noires et arrondies, et ses élytres gris bleuté avec le bourrelet basal légèrement orangé.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de juin à août.
Biologie-éthologie :
La larve se développe dans les petites tiges vivantes des saules, surtout saule marsault. L’adulte est diurne et se trouve sur les feuilles des saules. Le cycle biologique est de deux ans.
Biogéographie et écologie :
Espèce à vaste répartition paléarctique. En France, elle occupe la majorité du territoire, mais semble absente de Corse. Son habitat est constitué de ripisylves, zones humides ou de saules isolés en montagne.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.