- 122 observations
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10
communes -
11
observateurs -
5
organismes -
Première observation
2002 -
Dernière observation
2016
Eaux territoriales - Façade Seine-Maritime - Foulbec - Graye-sur-Mer - La Cerlangue - Le Havre - Oudalle - Sainte-Opportune-la-Mare - Saint-Sulpice-de-Grimbouville - Saint-Vigor-d'Ymonville - Yville-sur-Seine
Avertissement : Seul les producteurs et les fournisseurs du jeu de donnée, renseigner dans les métadonnées, sont afficher dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de donnée, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 73 Observations
Part d'aide à la prospection : 59.84 %
Fiche organisme
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Indépendant Claire JACQUET
Participation à 41 Observations
Part d'aide à la prospection : 33.61 %
Fiche organisme
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Maison de l'Estuaire
Participation à 41 Observations
Part d'aide à la prospection : 33.61 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.74 %
Fiche organisme
Informations espèce
Europe, Afrique du Nord
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 5-8 mm, mâle : 4-7 mm.
Le groupe oculaire est celui des araignées-loups, Le céphalothorax possède une coloration brunâtre avec, à l’avant, trois bandes claires médianes se rejoignant à la jonction thoracique, caractéristique des pirates (genres Pirata et Piratula). La couleur générale est brun-rougeâtre, avec des bandes latérales blanches sur tout le corps et, dorsalement, sur l’abdomen, entre ces bandes, des lignes de taches blanches. Il existe sept espèces en France métropolitaine, dans les genres Pirata et Piratula. Presque toutes s’identifient aisément à la coloration du céphalothorax et de l’abdomen, excepté les deux espèces Pirata piraticus et P. tenuitarsis dont l’examen des pièces génitales est indispensable pour les distinguer.
Milieux colonisés :
Ces espèces sont communes, en milieux humides et marécageux, souvent ouverts.
Chasse :
Les Pirates chassent des proies aériennes, des insectes mais aussi de nombreuses autres araignées. Elles se déplacent aisément sur l’eau, peuvent y entrer, mais c’est en cas de danger.
Développement, cycle :
Les mâles de P. piraticus sont présents d’avril à juillet, les femelles de mai à septembre. Le cycle se déroule, suivant les individus, sur un ou deux ans. Les femelles pondent souvent deux cocons, un avant l’été, l’autre plus tard. Le nombre d’œufs par ponte est très variable (20-80, moyenne : 45). La femelle porte son cocon attaché aux filières pendant environ deux semaines, puis les jeunes sur le dos de son abdomen pendant quelques jours jusqu’à leur dispersion. Les jeunes issus des seconds cocons peuvent passer parfois un second hiver comme subadultes. Tous les jeunes passent l’hiver cachés dans la végétation aquatique, sous les joncs, les sphaignes,…
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.